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annelyse


Sous rubrique "Personnalités", Jean-Pierre Fragnière nous donne encore à découvrir une femme attachante de notre village. Il nous présente Annelyse du Pra du Fra un peu comme une aventurière, osant l'inconnu, aimant les défis et assez courageuse pour engager des combats difficiles, avec de nouvelles idées, en des temps peu propices au partage et à la générosité. Nous vous laissons suivre ce lien et découvrir sa présentation.

MARCEL

 

C'est vrai, il y a les cinq continents; il y a St-Germain-en-Laye et la France, pays d'adoption; il y aussi l'inoubliable canton de Vaud où se cachent ses souvenirs d'enfant et d'adolescent mais il y a surtout Veysonnaz où s'enracinent profondément sa personnalité et ses pensées. C'est vers ce modeste coin de pays des bords de Printze que Marcel revient à tout bout de champ, pour reprendre contact avec la nature bienfaisante, se réapproprier ses plus anciens souvenirs et retrouver sa famille et ses amis. Nous sommes heureux de l'accueillir sur notre site et de signaler son brillant parcours quitte à égratigner quelque peu sa modestie. 

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clebes verrey

En juin 1991 dans le cadre d’une émission placée sous l’égide de la Radio Suisse Romande, visant à promouvoir le patois et à démontrer sa vitalité dans la région des bords de Printze, Olivier Frutiger a réalisé un interview  de trente minutes, de Lydia Glassey et de Geneviève Fournier. Ces personnes bien connues à Veysonnaz, Clèbes et Verrey, mémoires fidèles de nos anciennes traditions, ont assuré avec brio un jeu de questions-réponses. Elles s'expriment en patois et nous expliquent comment se déroulaient les jours, dans un contexte économique et des contigences agricoles et géographiques difficiles. Nous sommes heureux de vous les faire écouter sur Veysonnaz-Chroniques

laplace

 

En parlant de son pays natal, Jean-Pierre Fragnière, que tout Veysonnaz connaît, nous dit : « Mon village était l'un des plus pauvres de la Suisse d'après-guerre. La viande et le beurre étaient des denrées rares et précieuses. Dans ce contexte, la solidarité était une condition de survie: c'est elle qui faisait qu'on ne se sentait pas pauvres.

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